Tester avant de détester !

Un dégoût ultime pour cette atrocité culinaire souffrant de photosynthèse que sont les choux de Bruxelles nous vient d’un profond souvenir de cantine.

Une fois installé dans la grande cour de la responsabilité adulte, nous notons une impulsion chevaleresque de témérité qui nous pousse à retenter l’ingestion ces insensées plantes herbacées belges.
Et là, il nous explose au visage deux réactions épiques et onomatopéiques : « baaah » ou « mmmh ».

Pour les premiers, le moment est certes dur à avaler mais pour les seconds, un élan d’espoir incommensurable en l’humanité se réveille et leur ouvre des opportunités à boire à grandes lampées.

Quelle belle moralité : il faut tester avant de détester !

Aucun commentaire: