Une fois installé dans la grande cour de la responsabilité adulte, nous notons une impulsion chevaleresque de témérité qui nous pousse à retenter l’ingestion ces insensées plantes herbacées belges.
Et là, il nous explose au visage deux réactions épiques et onomatopéiques : « baaah » ou « mmmh ».
Et là, il nous explose au visage deux réactions épiques et onomatopéiques : « baaah » ou « mmmh ».
Pour les premiers, le moment est certes dur à avaler mais pour les seconds, un élan d’espoir incommensurable en l’humanité se réveille et leur ouvre des opportunités à boire à grandes lampées.
Quelle belle moralité : il faut tester avant de détester !
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